replique montre

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Thursday, April 28, 2011

Les personnes obèses ont plus de risques d'être asthmatiques - Le Point

L'asthme et l'obésité, deux affections qui ont énormément progressé dans le monde au cours des vingt dernières années, ont des liens, les obèses ayant plus de risques d'être asthmatiques et l'asthme diminuant nettement quand ils maigrissent. "La prise pondérale est clairement associée avec la montée de l'asthme", a souligné le professeur Alain Didier, pneumologue-allergologue et chef du service de pneumologie du CHU de Toulouse, devant le 6e Congrès francophone d'allergologie, à Paris.
Il cite plusieurs études établissant la relation entre l'asthme et l'obésité. Une méta-analyse de sept études met en évidence une augmentation de 50 % de l'asthme chez les sujets en surpoids ou obèses. Par ailleurs, dans une cohorte de près de 5 000 sujets, il y avait 11,9 % d'asthmatiques chez les obèses et 6,1 % chez les gens de poids normal. Plus probant encore, selon une autre étude de 1999, conduite auprès de quelque 86 000 infirmières suivies pendant 4 ans, une prise de poids supérieure à 25 kilos après l'age de 18 ans était associée à un risque près de cinq fois supérieur de voir appara?tre de l'asthme.
Quatre millions d'asthmatiques en France
D'autres études encore montrent que le risque relatif d'avoir de l'asthme est doublé chez les personnes obèses, avec une augmentation du risque de 1,17 avec une hausse de poids de 5 kilos, et de 2,1 avec une hausse de poids de plus de 20 kilos. En outre, "le fait d'être en surpoids rend plus difficile de contr?ler l'asthme et de le faire passer à un stade acceptable", indique le professeur Didier. à l'inverse, des études ont établi une amélioration de l'asthme chez l'obèse qui maigrit.
Les causes de ces liens entre asthme et obésité ne sont pas clairement établies. Parmi les hypothèses : des facteurs génétiques communs, des facteurs mécaniques, l'influence sur l'inflammation d'un régime riche en certains acides gras, la sécrétion de médiateurs de l'inflammation, la modification des débits pulmonaires... De ce fait, "prendre en charge l'obésité pourrait être un moyen de contr?ler la maladie respiratoire", estime le pneumologue. Il note que les liens, supposés, entre asthme et alimentation ne sont pas à ce jour clairement établis. Une étude envisage un r?le protecteur du zinc et de la consommation régulière de fruits et légumes. Le nombre d'asthmatiques est estimé en France à plus de 4 millions, soit 6,7 % de la population et 9 % des enfants. Une cause allergique est retrouvée chez 70 à 80 % des adultes asthmatiques et chez 95 % des enfants.

breitling

Thursday, April 21, 2011

Seen, icône du graffiti new-yorkais, offre sa première rétrospective à Paris

Sa stature en impose, son regard captive. Avec ses avant-bras recouverts de tatouages et sa crinière blanchissante, Seen alias Richard Mirando, ressemble à un chef indien qui aurait enfilé un jeans et un sweeter, le temps d'une interview.
Pionnier du street art et de la peinture murale urbaine à l'aérosol, Seen a acquis une renommée internationale. Ses oeuvres s'arrachent aux enchères et sa cote ne cesse de grimper, confirme Arnaud Oliveux, commissaire priseur spécialiste du graffiti chez Artcurial, maison de ventes aux enchères parisienne pluridisciplinaire.
La semaine dernière, une de ses toiles s'est vendue 31.000 euros lors d'une vente de la maison consacrée à cet art urbain "passé dans l'histoire de l'art et objet d'un marché en pleine ascension depuis 2005/2006", selon M. Oliveux.
Témoin de cet intérêt grandissant, une autre rétrospective consacrée à l'art graffiti en général, "Art in the streets", débutera au MOCA de Los Angeles le 17 avril, une reconnaissance que Seen regarde avec un certain détachement.
Il a longtemps hésité avant de signer un contrat avec une galerie. Rebelle pacifique à la curiosité insatiable - il a peint le panneau Hollywood de Los Angeles - il a toujours préservé son indépendance. Une particularité qui a fait de lui l'une des stars de "Style Wars" (1982), documentaire de Tony Silver et Henry Chalfant sur les débuts du hip-hop et la métamorphose de la grosse pomme par ses graffeurs.
Seen est né dans le Bronx. A 4 ans il passe son temps à dessiner, jusqu'à ce qu'il trouve une bombe de peinture au début des années 70 et ose s'aventurer à 11 ans, épaulé par son petit frère de 9 ans, Mad, dans le dép?t du métro situé près de chez lui.
Une expérience décisive qui le lance à la poursuite des trains, toiles géantes dédiées à son imaginaire.
"Il y avait ce dép?t juste à c?té de la maison. Pour une raison qui m'échappe, je ressentais le besoin de me faire peur", raconte-t-il à l'AFP dans son atelier parisien situé au rez-de-chaussée d'un petit immeuble du 11e arrondissement de la capitale, un lieu de vie qu'il partage avec New York.
"J'ai escaladé le +El+ (pour Elevated, ligne 6 du métro aérien à Paris). Ca a été ma première signature. J'ai continué, sortant à chaque station et recommen?ant sur la prochaine rame. Pour ma première oeuvre, j'ai utilisé du jaune et du rouge. J'ai re?u une photo deux ans plus tard. Ca a été le début d'un style", poursuit-il.
"Il n'y a avait pas d'école d'art à l'époque. Quand on était gosses, on créait nous-mêmes des trucs", se souvient-il, évoquant "une compétition" en bande mais "pas de gang" dans un "New York incroyable".
Des Tags hiératiques aux lettrages (writings) plus sophistiqués ou aux fresques comme "Murder express" (un cimetière et des colonnes romaines fissurées peints sur un wagon entier), Seen n'a jamais cessé de peindre, laissant aussi son imagination s'exprimer sur des toiles dédiées aux super héros de son enfance (Batman, Spiderman, Wonder woman...).
"La couleur est devenue très importante dans les années 80", une donnée qu'il a continué de travailler dans son atelier, après avoir quitté la rue et l'illégalité. "Un break" qu'il apprécie: "il prend son temps".
Paris l'inspire: "l'architecture, toutes ces galeries, l'art au coin de la rue....Ca me fait du bien à l'esprit, à la tête, c'est moi".

montres chopard

Thursday, April 14, 2011

Quand Sarah découvre les métiers de la table

C’était en janvier. Rendez-vous au CEPROC, le Centre européen des professions culinaires, situé dans le 19e arrondissement de Paris. Une femme nous re?oit, elle nous guidera durant toute la visite. Elle nous donne à chacun une blouse blanche, qui ressemble étrangement à un sac poubelle (matière plastique), avec deux trous pour mettre nos bras. Pourquoi revêtir cette horreur ? Parce que nous allons pénétrer dans les laboratoires et il ne faudrait pas que nous ramenions nos microbes en cuisine ! Du baba cool à l’intello, en passant par la fashion-victime, aucun de nous n’est épargné : tous à égalité.
Si notre look n’est pas très mode, les locaux, eux, sont dernier cri ! Notre guide, un peu sévère sur les bords, nous explique que les élèves sont ici en alternance (école/entreprise). Direction le premier étage, celui des patissiers. Puis visite d’une salle de cours : à la place d’un tableau, il y a un plan de travail en inox, un évier, une gazinière… La salle est aussi équipée de plusieurs miroirs au plafond et sur les murs, pour faire en sorte que les élèves voient de leur place les démonstrations du prof.
Nous voici enfin dans les cuisines ultramodernes, face à des jeunes qui portent tous une toque et un ensemble blanc. Une recette est inscrite sur un tableau et en un temps limité ils doivent la réaliser. Au menu, un dessert glacé. Un quart d’heure plus tard nous sommes chez les traiteurs. Nous apprenons que les plats con?us par les élèves seront mangés à la cantine par eux.
Avant de partir nous passons par le restaurant de l’école, où d’autres apprentis s’initient aux métiers de serveur, barman… Ce sont de ? vrais ? clients qui go?tent aux spécialités cuisinés par les élèves. Les plats élaborés nous ont fait saliver mais malheureusement nous n’avons pas eu l’occasion d’y go?ter, dommage ! Dans l’ensemble la classe a apprécié la sortie.
Deux semaines plus tard, en janvier toujours. Nous nous rendons à la Cité des métiers, dans le 19e également. Ce n’est pas exactement comme la Cité des sciences et de l’industrie où tu joues avec l’eau et traverses des espaces scientifico-ludiques, ce que beaucoup de nous pensaient faire mais en version découverte des métiers, 14/16 ans. Là, nous montons d’un cran, fini la période poupée Barbie et Playmobil. Nous assistons à une conférence.
?a a ses avantages : nous sommes enfin assis au chaud. D’autres classes de 3e sont présentes. Une COP (Conseillère d’orientation psychologique) fera office d’animatrice. Des vidéos sont projetées, elles décrivent des métiers liés à l’h?tellerie – serveuse, sommelier, boulanger, boucher… ? Surtout pas un bruit, parce que si une classe gêne, elle est évacuée ?, a prévenu la prof avant d’entrer. La salle est comme ? éteinte ?, certains dorment carrément. Quand l’animatrice nous demande s’il y a des questions, c’est le calme plat…
Parmi les intervenants, il y a le directeur d’exploitation du restaurant Horeto de la Cité des Sciences ; une conseillère de P?le Emploi spécialisée en h?tellerie-restauration ; un boulanger-patissier ; un développeur de l’apprentissage CFA de la poissonnerie de Rungis ; un développeur de l’apprentissage CFA des métiers de viandes FBMV (Fédération de la boucherie et des métiers de la viande). Toute ma classe a trouvé la sortie ennuyeuse.
Bilan final : visiter un centre de formation, c’est bien plus marrant que d’assister à une conférence, pourtant les deux sorties portaient bien sur le même thème. Enfin bon, on verra bien ce que nous réserve la prochaine sortie !
Sarah Ichou
Précédents articles de Sarah sur la découverte des métiers :

montres ferrari

Thursday, April 7, 2011

La journée sans immigrés - tous ensemble, tous ensemble, tous

Lundi, 1er mars 2010, pour tous les immigrés, ceux qui s’identifient comme tels, les enfants d’immigrés, les petits-enfants d’immigrés, en somme tous ceux qui s’associent de près ou de loin à l’histoire de l’immigration, ce devait être shabbat. Une journée ? noire ? : pas de travail, pas d’achats dans les magasins, un day off total, à l’instar du mouvement de protestation latino-américain de 2006 contre la politique d’immigration des Etats-Unis.
Pour cette première ? Journée sans immigrés ?, des centaines de personnes se sont mobilisées devant les mairies de plusieurs villes de France. A Paris, c’est devant l’H?tel-de-Ville qu’ont afflué des centaines de personnes (500 selon les organisateurs) de divers horizons, rassemblés autour d’une même idée : le refus de la stigmatisation de l’immigration. ? Le but est avant tout de démontrer l’apport économique de l’immigration ?, expliquent Nadir Dendoune et Nadia Lamarkbi, deux des organisateurs du mouvement ? 24 heures sans nous ?.
Dès 12 heures, le rassemblement commence à prendre forme, une grande banderole tenue par de jeunes Italiens qui brandissent également des portraits d’immigrés célèbres donne le ton. La manifestation prend des airs de sitting étudiant jusqu’à l’arrivée en fanfare d’une foule scandant des slogans de solidarité pour les sans-papiers. Etudiants, cadres, responsables politiques, membres associatifs, ils sont venus marteler leur ? ras le bol ?, comme Thibault et Sarah, deux étudiants agés de 23 ans dont les parents sont respectivement originaires d’Espagne et de Hongrie.
? Nous sommes venus exprimer notre solidarité envers les populations immigrées, protester contre les expulsions, contre cette politique de stigmatisation mais également contre le populisme électoral ?, confie Thibault entre deux slogans pro-sans-papiers. Un stand dédié à la vente de t-shirts ? 24 heures sans nous ? rencontre beaucoup de succès, les gens qui l’achètent le revêtent immédiatement. Sur des notes de musique orientale jouée au rythme de l’oud, certains dégustent un verre de thé pendant que d’autres débattent sur les solutions possibles pour une meilleure image de l’immigration.
Car si ces personnes sont présentes aujourd’hui, c’est pour elles en raison d’un triste constat : celui des dérapages verbaux des politiques. C’est en effet à la suite des propos tenus par Brice Hortefeux au sujet de fameux Auvergnats que le collectif a décidé de mettre en place cette journée. La date choisie, le 1er mars, n’est pas anodine : ? Elle marque l’anniversaire de l’entrée en vigueur du CESEDA, Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, code qui a instauré une immigration choisie sur des critères économiques, entre autres ?, explique Nadir Dendoune.
Au c?ur de la foule, un jeune homme avec un drapeau européen. Pourquoi un tel drapeau ? ? Mon papa était un réfugié juif polonais, ma maman une réfugiée juive de Russie, j’ai trouvé que ce drapeau représentait bien mes origines telles que je les per?ois. Cela ne veut pas dire cependant que j’adhère à la politique telle qu’elle est menée aujourd’hui notamment par Baroso (le président de la Commission européenne, ndlr). Bien au contraire, la politique des frontières européenne me chagrine beaucoup, mais là, c’est le militant qui parle ?, témoigne Aleksander Glogowski, chargé de communication de 38 ans qui profite de sa pause déjeuner pour affirmer sa solidarité avec le mouvement.
C’est vers 14 heures que le rassemblement a pris fin. Nadir Dendoune se dit satisfait de la fa?on dont il s’est déroulé, même s’il est ? triste ? d’avoir d? en arriver là pour se faire entendre. ? L’aventure ne fait que commencer, veut croire Nadia Lamarkbi, nous espérons faire de cette journée un évènement annuel et européen. ?
Widad Kefti
Mario, le travail dans le sang
En 1981, Mario, 17 ans, arrive tout droit d’Egypte. Il loge chez son oncle à Nice, un homme aisé. Un jour, celui-ci lui ordonne de retourner en Egypte pour continuer ses études. Mais Mario décide plut?t de rejoindre ses amis de faculté installés à Paris. Il se rend compte qu’ils sont tous dans les milieux de la restauration et du batiment. Il commence un petit boulot de peintre en batiment mais cela ne lui pla?t pas. Il occupe ensuite, grace à un ami, un poste de commis barman. Et son avenir professionnel se trace petit à petit dans la restauration.
Il est ensuite aide cuisinier à la pizzeria Casa Nostra, Place d’Italie. Il y apprend le métier de cuisinier en restauration italienne. Il retourne en Egypte pour ses examens à la fac et revient à Paris pour cumuler les petits boulots. Une fois son dipl?me de lettres modernes en poche, il s’installe définitivement dans la capitale fran?aise. En 1994, il obtient la nationalité fran?aise et continue son activité dans la restauration. Il occupe le poste de pizzaiolo durant une dizaine d’année pour enfin être chef de cuisine et chef de rang.
Pas moins de trente-sept restaurants remplissent son curriculum vitae. Aujourd’hui, c’est à son tour d’être patron de restaurant italien. Il continue cependant à faire ses pizzas lui-même car ses mains le démangent et étant donné que son affaire n’a même pas un an, il ne peut se permettre d’avoir une armada d’employés. Il dispose néanmoins d’un chef cuisinier, et sa femme et sa fille l’aident en salle. Il a le travail dans le sang, une patience à toute épreuve et espère se sentir vraiment patron un jour, pouvoir superviser sans se tuer à la tache, et pourquoi pas ouvrir une voire plusieurs autres restaurants.
La journée sans immigrés d’hier s’est passée sans lui. Ce n’est pas l’envie qui lui manquait d’y participer, mais il ne peut se permettre de perdre une journée de revenus car il a un crédit à rembourser. Et ses clients fidèles seraient assez mécontents de voir leur resto du coin fermé.
Inès El Laboudy
Rachid : ? Ma vie est désormais ici ?
Rachid me re?oit chez lui au Mée-sur-Seine (77). Il est heureux de parler de sa réussite, qu’il estime due avant tout à ses efforts personnels. Né en 1955 à Alger, il décide de venir étudier le droit en France en 1977. Admis dans plusieurs universités de l’Hexagone, il pour Paris qu’il opte. S’ensuit un deug. Sans bourse ni aides, le jeune homme se décide à travailler en intérim, et jongle avec les cours du soir.
Mais le moment du choix s’impose, et l’heure n’est pas au luxe. Alors, Rachid se lance dans le monde du travail pendant cinq ans. Jusque-là, il était détenteur d’une carte de séjour étudiante, renouvelable tous les ans. Ces échéances annuelles l’inquiétaient. Sa carte serait-elle reconduite ? Il fait une pause dans son récit pour me parler du ? racisme omniprésent que subissaient les Maghrébins dans les années 70 ?. ? On ne pouvait pas riposter malgré la rage qui troue l’estomac, on avait peur de devoir repartir ?, raconte-t-il.
Rachid crée une première entreprise à Paris. Une première expérience pleine d’enseignements. Il comprend qu’il est fait pour le commerce. Il sent la bonne affaire, flaire le moment où il faut se retirer. En 2009, il en est à sa septième société dans le commerce des fruits et légumes. Il est ? content ? de participer à sa fa?on à ? l’économie de la France ?. ? Je travaille beaucoup, et en général ?a marche plut?t bien. C’est ma fa?on d’être utile. ?
Il est détenteur d’une carte de travail valable 10 ans. Il voudrait participer à la vie municipale, avoir le droit de vote au niveau communal, mais la chose est impossible sans naturalisation. Comme pour beaucoup d’immigrés de la première génération, la naturalisation fran?aise ne va pas de soi, même lorsqu’elle n’efface pas la nationalité d’origine : trop de souffrances rentrées, beaucoup de fierté aussi. Lui qui vit depuis 32 ans en France, avec sa femme et leurs trois enfants, aimerait s’investir plus dans la vie de la société.
? Ma vie est aujourd’hui ici, et j’en suis heureux. Je n’ai jamais envisagé le retour. Je suis redevable envers la France. Mon parcours est loin d’être idyllique, et il reste des paradoxes entre mes deux patries qui me tiraillent. Mais, je suis chanceux. Je n’ai pas, contrairement aux jeunes d’aujourd’hui, de problème d’identité entre plusieurs nations. ?

montres hublot

Friday, April 1, 2011

Book-pockets

Nadia a acheté deux ouvrages d’Habib Ayoub ? L’homme qui n’existait pas ? et ? Le désert et après ? et une nouvelle de Le?la Sebbar ? La Blanche et la Noire ?.
Rachid a opté pour deux romans : ? Chercheur d’os ? de Tahar Djaout et ? Le Fils du pauvre ? de Mouloud Feraoun.
Yasmina a fait le plein. Son sac déborde d’ouvrages. Elle a acheté ? Le village de l’Allemand ? de Boualem Sansal, ? A mon age je me cache encore pour fumer ? de Rayhana, deux ouvrages d’Amin Zaoui ? La chambre de la vierge impure ? et ? Le sommeil du mimosa ?, ? Vaste est la prison ? et ? Ombre sultane ? d’Assia Djebar et ? Fatima ou les Algériennes au square ? de Le?la Sebbar.
Jean-Pierre a choisi quant à lui le ? Dictionnaire de la révolution algérienne ? d’Achour Cheurfi.
Rabia a dévalisé les rayons et a acheté des livres avec le même fil conducteur, sa ville natale, Constantine.
Dans son sac : ? La ville imprenable ? d’Isabelle Grangaud, ? Constantine, une ville, des héritages ? sous la direction de F.Z Guechi, ? Constantine et ses romanciers ? de Nedjma Benachour, ? La brêche et le rempart ? de Badreddine Mili.
Elle s’est offert en plus ? Le quatuor algérien ? de Yasmina Khadra, ? Nedjma ? de Kateb Yacine, ? Idées re?ues sur l’Algérie ? de Georges Morin. Notre mordue de littérature s’est aussi laissée séduire par les BD de Gyps ? Fis End Love ?, ? L’Algérie c’est comme ?a ? et ? Algé-rien ?.
Khalifa quant à lui a acheté trois ouvrages : ? Les Officiers de Sa Majesté ? de Mahdjoub Tobji, ? Adolfo Kaminsky ? de Sarah Kaminsky et ? Chevaux et cavaliers arabes ?.
Widad s’est aussi laissée séduire. Elle a acheté ? Les coloniaux ? d’Aziz Chouaki et ? Pierre sang papier ou cendres ? de Ma?ssa Bey. Séduite par la BD de Gyps, elle s’est offert pas moins de trois volumes. Et dédicacés s’il vous pla?t…
Rayons X réalisé par Widad Ketfi et Fa?za Zerouala

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